Et surtout, qui a dit qu’il fallait attendre mai pour faire ce qui nous plait ?

Pour les nouveaux à me lire ici (et merci d’en être), un petit retour en arrière s’impose. J’ai 25 ans, et j’ai terminé mes études d’école de commerce – commerce parce que je ne savais pas quoi faire – il y a 3 ans. Je ne vais pas revenir sur les détails du pourquoi du comment, c’est assez long pour que j’en écrive des livres. Mais en gros : mon engagement écologique + ma soif de liberté = fuir les cases et le CDI.
À tâtons d’abord puis franchement après, j’ai sauté le pas pour dédier ma vie à l’engagement. Ce choix, certes audacieux, a été l’un des plus inconfortables de ma vie. Mais aujourd’hui, je n’attends plus le mois de mai pour faire ce qui me plait. Chaque nouvelle journée est une nouvelle raison de m’émerveiller, de grandir, de m’épanouir, et de trouver du soleil sous la pluie. C’est très très très résumé, mais si cette newsletter est trop longue vous la lirez pas donc je prends de gros raccourcis. 😉

Pour les curieux, je reviens sur mon parcours et ma philosophie de vie dans le podcast Métamorphose ici.

Aujourd’hui, ma vie est celle-là : animer mon podcast Nouvel Œil, écrire, donner des conférences, et… réaliser avec Johan Reboul notre premier film documentaire, Shimla. Autant de projets avec un but commun –éveiller les consciences.

Après 8 mois à laisser mes micros jaune rangés, enfin, je reprends du service ! Et quelle joie. Tous les lundi dès 6h30, pendant les 6 prochains mois, un nouvel épisode du podcast sera disponible sur toutes les plateformes d’écoute. Lundi est sorti le premier épisode de cette nouvelle saison - soutenue par Green Management School - avec Jean-François Clervoy !

Parce que réellement, j’ai l’impression d’avoir donné vie à un enfant. MON LIVRE EST EN LIBRAIRIES.

Et maintenant, « Tu penses quoi de la vie, Mamie ? » ne m’appartient plus vraiment. C’est à vous de le faire grandir, de l’apprivoiser et de l’adopter, peut-être. Vous pouvez aussi le partager, cet enfant, lui prendre la main pour l’aider à marcher.

Depuis sa sortie, le livre a été réimprimé tant vous êtes nombreux à aller le chercher en librairies. C’est fou. Je n’ai pas les mots pour vous remercier de vos mots. Les messages que je reçois m’invitent à une chose : continuer d’écrire.  Parce que ça vous aide à ne plus attendre mai pour faire ce qui vous plait. Et c’est mon plus beau cadeau.

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